Frédérique VARDA (Soprano)
Parisienne, Frédérique Varda est une artiste au parcours atypique. Attirée par la danse, puis par le théâtre elle poursuit des études de gestion parallèlement à Sciences Po Paris. Elle prend ses premiers cours de chant à la Schola Cantorum avant d’étudier auprès du ténor australien Albert Lance. Elle fait ses débuts dans Lakmé (Léo Delibes), Rosine (Le barbier de Séville-Rossini), Gilda (Rigoletto-Verdi), Frau Herz (le directeur de théâtre- Mozart), Eurydice ( Orphée aux enfers-Offenbach) et enfin la Reine de la nuit (la Flûte enchantée -Mozart). Son répertoire évolue peu à peu vers les rôles lyriques . Elle chante ainsi ses premières Violetta (La Traviata-Verdi), Norina (Don Pasquale) et Leïla (Les pêcheurs de perles-Bizet). Elle participe aussi à de nombreuses opérettes, Missia dans « La Veuve Joyeuse », Gabrielle dans « la vie parisienne » ou Arlette « la chauve-souris » dans lesquelles son tempérament de comédienne s'épanouit pleinement. Elle s’est produite au théâtre du Châtelet avec l’orchestre Pasdeloup, à l'opéra de Marseille avec l’orchestre de Douai, Salle Gaveau sous la baguette de Philippe Hui, avec l’orchestre d’Orléans sous la direction de Martin Lebel, au Victoria Hall de Genève et à l’auditorium Stravinsky de Montreux, au Grand Théâtre de Reims, sous la direction de Marius Stieghorst dans La messa di gloria de Rossini. En 2015, on la retrouve dans plusieurs concerts avec orchestre à Besançon , Angoulême et Monaco, puis en Italie à San-Remo en mars. Elle retrouve avec joie le rôle de Leila dans "les pêcheurs de perles » dans le cadre des Milles Musicaux de Trinité sur Mer dont elle assure la Direction Artistique. En 2016 elle est en tournée avec « les 3Divas », dans un show lyrique décalé, elle est Missia dans la Veuve joyeuse à Sète et Mérignac et Carlotta dans le Fantôme de l'Opéra. En 2017, elle fait ses débuts dans le rôle de Blanche de la Force (le dialogue des Carmélites) sous la direction de Claude Cugullière et retrouve le rôle de Violetta (la Traviata) pour cinq représentations en juillet sous la direction de Philippe Forget dans le cadre de l’Opéra des Landes.
Parisienne, Frédérique Varda est une artiste au parcours atypique. Attirée par la danse, puis par le théâtre elle poursuit des études de gestion parallèlement à Sciences Po Paris. Elle prend ses premiers cours de chant à la Schola Cantorum avant d’étudier auprès du ténor australien Albert Lance. Elle fait ses débuts dans Lakmé (Léo Delibes), Rosine (Le barbier de Séville-Rossini), Gilda (Rigoletto-Verdi), Frau Herz (le directeur de théâtre- Mozart), Eurydice ( Orphée aux enfers-Offenbach) et enfin la Reine de la nuit (la Flûte enchantée -Mozart). Son répertoire évolue peu à peu vers les rôles lyriques . Elle chante ainsi ses premières Violetta (La Traviata-Verdi), Norina (Don Pasquale) et Leïla (Les pêcheurs de perles-Bizet). Elle participe aussi à de nombreuses opérettes, Missia dans « La Veuve Joyeuse », Gabrielle dans « la vie parisienne » ou Arlette « la chauve-souris » dans lesquelles son tempérament de comédienne s'épanouit pleinement. Elle s’est produite au théâtre du Châtelet avec l’orchestre Pasdeloup, à l'opéra de Marseille avec l’orchestre de Douai, Salle Gaveau sous la baguette de Philippe Hui, avec l’orchestre d’Orléans sous la direction de Martin Lebel, au Victoria Hall de Genève et à l’auditorium Stravinsky de Montreux, au Grand Théâtre de Reims, sous la direction de Marius Stieghorst dans La messa di gloria de Rossini. En 2015, on la retrouve dans plusieurs concerts avec orchestre à Besançon , Angoulême et Monaco, puis en Italie à San-Remo en mars. Elle retrouve avec joie le rôle de Leila dans "les pêcheurs de perles » dans le cadre des Milles Musicaux de Trinité sur Mer dont elle assure la Direction Artistique. En 2016 elle est en tournée avec « les 3Divas », dans un show lyrique décalé, elle est Missia dans la Veuve joyeuse à Sète et Mérignac et Carlotta dans le Fantôme de l'Opéra. En 2017, elle fait ses débuts dans le rôle de Blanche de la Force (le dialogue des Carmélites) sous la direction de Claude Cugullière et retrouve le rôle de Violetta (la Traviata) pour cinq représentations en juillet sous la direction de Philippe Forget dans le cadre de l’Opéra des Landes.
Nathalie Espallier (mezzo)
Parallèlement à une formation de comédienne à l’ENSATT (rue Blanche PARIS), Nathalie Espallier suit des cours de chant et décide de s’y consacrer pleinement. Après un Prix de Chant à l’unanimité et avec les félicitations du jury au CNR d’Aubervilliers La Courneuve, et divers concours, elle débute sa carrière aux Opéras d’Angers et de Dijon dans le rôle de Carmen de Bizet, rôle qu’elle interprète depuis régulièrement. Suivent alors d’autres scènes nationales et internationales et festivals avec les roles de Nicklausse des « Contes d’Hoffmann » d’Offenbach, Fenena de « Nabucco » de Verdi, Smeton dans « Anna Boleyn » de Donizetti, Madame de Croissy des « Dialogues des Carmélites » de Poulenc, La Reine dans « Hamlet » de A.Thomas… Depuis 2007, elle a ajouté à son répertoire et chanté sur scène Adalgise dans « Norma » de Bellini, Taven dans « Mireille » de Gounod, Azucena du « Trouvère » de Verdi, l’Opinion Publique dans « Orphée aux Enfers » de Offenbach, Malika dans « Lakmé » de Delibes. En 2010 et 2011 elle interprète le rôle de la Mère dans « les Orages Désirés » de G.Condé à l’Opéra d’Avignon et de Reims puis au Festival Berlioz. 2012 lui offre pour la première fois Charlotte dans « Werther » de Massenet puis un concert dirigé par Dominique Rouits autour de l’Opéra Français à l’Opéra du Caire . Elle chante également plusieurs Requiem de Verdi ainsi que Orlovsky dans La Chauve Souris de J. Strauss. Elle n’oublie pas qu’elle vient du théâtre et chante aussi plusieurs rôles du répertoire d’Opérette : La Grande Duchesse de Gérolstein (Offenbach),Metella dans la Vie Parisienne (Offenbach), Marion dans les Saltimbanques de Louis Ganne, La Duchesse d’Albe dans le Prince de Madrid (F. Lopez)…
L’Oratorio et le Récital sont également des formes qu’elle apprécie . Elle se produit régulièrement dans les Requiem de Mozart et de Verdi et dans celui de Duruflé, les Stabat Mater de Pergolese et Rossini. Elle a chanté la Servante et le jeune David dans le « Roi David » de Honeger. Le Récital offre un rapport plus intime au public ; elle y interprète aussi des mélodies françaises ( Duparc, Debussy, Fauré…), des mélodies espagnoles (De Falla, Montsalvatge, Granados…) En 2013 elle chante à nouveau « Carmen » et met à son répertoire Lola et Mama Lucia dans « Cavalliera Rusticana ». En 2014 elle est Suzuki dans « Madama Butterfly » à Bordeaux et met à son répertoire la Marquise de « la Fille du régiment » de Donizetti. En 2015 elle s’est produite dans le « Svata Ludmilla » de Dvorak , Oreste dans « la Belle Hélène » d’Offenbach et chante en janvier 2016 pour la première fois Amneris dans « Aida » de Verdi. En 2017 , Nathalie Espallier sera la Première Prieure des « Dialogues des Carmélites » de Poulenc puis le Prince Orlovsky dans la Chauve Souris de J.Strauss et l ‘Opinion publique dans « l’Orphée aux Enfers » d’Offenbach.
Parallèlement à une formation de comédienne à l’ENSATT (rue Blanche PARIS), Nathalie Espallier suit des cours de chant et décide de s’y consacrer pleinement. Après un Prix de Chant à l’unanimité et avec les félicitations du jury au CNR d’Aubervilliers La Courneuve, et divers concours, elle débute sa carrière aux Opéras d’Angers et de Dijon dans le rôle de Carmen de Bizet, rôle qu’elle interprète depuis régulièrement. Suivent alors d’autres scènes nationales et internationales et festivals avec les roles de Nicklausse des « Contes d’Hoffmann » d’Offenbach, Fenena de « Nabucco » de Verdi, Smeton dans « Anna Boleyn » de Donizetti, Madame de Croissy des « Dialogues des Carmélites » de Poulenc, La Reine dans « Hamlet » de A.Thomas… Depuis 2007, elle a ajouté à son répertoire et chanté sur scène Adalgise dans « Norma » de Bellini, Taven dans « Mireille » de Gounod, Azucena du « Trouvère » de Verdi, l’Opinion Publique dans « Orphée aux Enfers » de Offenbach, Malika dans « Lakmé » de Delibes. En 2010 et 2011 elle interprète le rôle de la Mère dans « les Orages Désirés » de G.Condé à l’Opéra d’Avignon et de Reims puis au Festival Berlioz. 2012 lui offre pour la première fois Charlotte dans « Werther » de Massenet puis un concert dirigé par Dominique Rouits autour de l’Opéra Français à l’Opéra du Caire . Elle chante également plusieurs Requiem de Verdi ainsi que Orlovsky dans La Chauve Souris de J. Strauss. Elle n’oublie pas qu’elle vient du théâtre et chante aussi plusieurs rôles du répertoire d’Opérette : La Grande Duchesse de Gérolstein (Offenbach),Metella dans la Vie Parisienne (Offenbach), Marion dans les Saltimbanques de Louis Ganne, La Duchesse d’Albe dans le Prince de Madrid (F. Lopez)…
L’Oratorio et le Récital sont également des formes qu’elle apprécie . Elle se produit régulièrement dans les Requiem de Mozart et de Verdi et dans celui de Duruflé, les Stabat Mater de Pergolese et Rossini. Elle a chanté la Servante et le jeune David dans le « Roi David » de Honeger. Le Récital offre un rapport plus intime au public ; elle y interprète aussi des mélodies françaises ( Duparc, Debussy, Fauré…), des mélodies espagnoles (De Falla, Montsalvatge, Granados…) En 2013 elle chante à nouveau « Carmen » et met à son répertoire Lola et Mama Lucia dans « Cavalliera Rusticana ». En 2014 elle est Suzuki dans « Madama Butterfly » à Bordeaux et met à son répertoire la Marquise de « la Fille du régiment » de Donizetti. En 2015 elle s’est produite dans le « Svata Ludmilla » de Dvorak , Oreste dans « la Belle Hélène » d’Offenbach et chante en janvier 2016 pour la première fois Amneris dans « Aida » de Verdi. En 2017 , Nathalie Espallier sera la Première Prieure des « Dialogues des Carmélites » de Poulenc puis le Prince Orlovsky dans la Chauve Souris de J.Strauss et l ‘Opinion publique dans « l’Orphée aux Enfers » d’Offenbach.
Pierre-Emmanuel Roubet (ténor)
Pierre-Emmanuel Roubet étudie le piano classique à l'école nationale de musique d'Agen, puis au conservatoire national de région de Toulouse où il pratique également le piano jazz. Il se produit sur scène durant plusieurs années comme pianiste et accordéoniste.
Ayant toujours chanté, la vie l'amène à découvrir le chant lyrique et plus particulièrement l'opéra. Il rencontre Jane Berbié avec qui il travaille pendant deux ans, puis Sophie Koch et Didier Laclau-Barrère, avec lesquels il travaille encore à ce jour. Il a par la suite l'occasion d'interpréter, « Platée » de Rameau, « The Fairy Queen » de Purcell, « Tony » dans le West Side Story de Bernstein, « Rodolfo » dans la Bohème de Puccini puis « Il Duca » dans le Rigoletto de Verdi, ces deux derniers sous la direction de Philippe Forget, qui dirige également le "Faust" de Gounod en 2016 à l'Opéra des Landes dans lequel Pierre-Emmanuel chante le rôle titre.
En Décembre 2015 il a eu l'occasion de chanter le rôle du « Comte d'Almaviva » dans le Barbier de Séville de Rossini au Théâtre d'Alger et d'interpréter « Piquillo » dans la Périchole d'Offenbach pour l'Opéra de Rennes en Mai 2015, puis pour le festival de Saint Céré sous la direction de Jérôme Pillement, et le redonne en 2016 dans les Théâtres d'Opéra de Clermont-Ferrand et Massy…Au mois de Mai 2016, il chante également la Messa di Gloria de Puccini accompagné de l'orchestre régional Bayonne Côte Basque... Il chante également de l'Oratorio pour de nombreuses occasions et se produit très régulièrement en récital.
En 2016, il débute dans le rôle de Tonio dans « la fille du régiment" au Casino Barrière de Toulouse avec l'orchestre Mozart.
En 2017 il débute dans le rôle d’Alfredo (Traviata-Verdi) sous la direction de Philippe Forget et vient d'être engagé par le CFPL, Centre Français de promotion lyrique, pour interpréter le rôle du comte Almaviva du « barbier de Séville » pour une tournée en France en 2017/2018.
Pierre-Emmanuel Roubet étudie le piano classique à l'école nationale de musique d'Agen, puis au conservatoire national de région de Toulouse où il pratique également le piano jazz. Il se produit sur scène durant plusieurs années comme pianiste et accordéoniste.
Ayant toujours chanté, la vie l'amène à découvrir le chant lyrique et plus particulièrement l'opéra. Il rencontre Jane Berbié avec qui il travaille pendant deux ans, puis Sophie Koch et Didier Laclau-Barrère, avec lesquels il travaille encore à ce jour. Il a par la suite l'occasion d'interpréter, « Platée » de Rameau, « The Fairy Queen » de Purcell, « Tony » dans le West Side Story de Bernstein, « Rodolfo » dans la Bohème de Puccini puis « Il Duca » dans le Rigoletto de Verdi, ces deux derniers sous la direction de Philippe Forget, qui dirige également le "Faust" de Gounod en 2016 à l'Opéra des Landes dans lequel Pierre-Emmanuel chante le rôle titre.
En Décembre 2015 il a eu l'occasion de chanter le rôle du « Comte d'Almaviva » dans le Barbier de Séville de Rossini au Théâtre d'Alger et d'interpréter « Piquillo » dans la Périchole d'Offenbach pour l'Opéra de Rennes en Mai 2015, puis pour le festival de Saint Céré sous la direction de Jérôme Pillement, et le redonne en 2016 dans les Théâtres d'Opéra de Clermont-Ferrand et Massy…Au mois de Mai 2016, il chante également la Messa di Gloria de Puccini accompagné de l'orchestre régional Bayonne Côte Basque... Il chante également de l'Oratorio pour de nombreuses occasions et se produit très régulièrement en récital.
En 2016, il débute dans le rôle de Tonio dans « la fille du régiment" au Casino Barrière de Toulouse avec l'orchestre Mozart.
En 2017 il débute dans le rôle d’Alfredo (Traviata-Verdi) sous la direction de Philippe Forget et vient d'être engagé par le CFPL, Centre Français de promotion lyrique, pour interpréter le rôle du comte Almaviva du « barbier de Séville » pour une tournée en France en 2017/2018.
Olivier Grand (baryton)
À 20 ans, Olivier Grand remporte de nombreux concours et est admis à l’Ecole de Chant de l’Opéra de Paris où il se perfectionne.
Il est très rapidement engagé sur les plus grandes scènes françaises (Bordeaux, Opéra Bastille, Opéra Comique, Marseille, St Etienne, Metz, Chorégies d’Orange, Strasbourg, Nice, Toulon, Avignon, Toulouse, Massy, Nancy, Tours), et internationales (Genève, Madrid, Barcelone, Venise, Tel Aviv, Monte-Carlo, Séville, Moscou, Trieste, Athènes, Liège, Oman).
Son large répertoire comprend aussi bien les rôles français tels que Ourrias (Mireille), Valentin (Faust), L'Enfant et les Sortilèges (Le Chat et L’Horloge), Lescaut (Manon), Karnac (Le Roi d’Ys), Zurga (Les Pêcheurs de Perles), Directeur de Théâtre / Le Gendarme (Les Mamelles de Tirésias), et le Geôlier (Dialogues des Carmélites), Capulet (Roméo et Juliette) que des rôles du répertoire italien tels que le rôle-titre de Rigoletto, Figaro du Barbier de Séville ou Enrico (Lucia di Lammermoor), Germont (La Traviata), Barnaba (La Gioconda), Il Conte di Luna (Il Trovatore), Alfio (Cavalleria Rusticana), Fra Melitone (La Forza del Destino), Falstaff et Ford (Falstaff), Lescaut (Manon Lescaut).
On a pu l’entendre aussi dans l’Opéra Contemporain (Salammbô à l’Opéra Bastille et Il Divorzio all’italiana à l’Opéra de Nancy) mais aussi dans l’Opérette, répertoire qu’il affectionne tout particulièrement (La Grande Duchesse de Gerolstein, La Vie Parisienne, La Belle Hélène, La Périchole, La Chauve-Souris, Les Mousquetaires au Couvent, La Veuve Joyeuse,…)
Il a chanté sous la direction de nombreux chefs d’orchestre tels que Michel Plasson, MyungWhun Chung, Seji Osawa, Alain Guingal, Jacques Lacombe, Antoni Ros-Marba, Laurent Campellone et collaboré avec des metteurs en scène tels que Jérôme Savary, Jean-Louis Grinda, Jean-Louis Pichon, Francesca Zambello, Laurent Pelly, Charles Roubaud, Paul-Emile Fourny...
Sa discographie comprend L’Homme de la Mancha (chez Forlan aux côtés de José Van Dam) et plus récemment Tistou et les pouces verts d’Henri Sauguet commandé par Radio France et enregistré à la Salle Pleyel.
Parmi ses projets, notons entre autres, La Chauve-Souris à Marseille, Carmen à Monte-Carlo et Toulouse, La Veuve Joyeuse et la Vie Parisienne à Marseille, Rusalka à Tours et de Nombreux concerts dans toutes la France…
À 20 ans, Olivier Grand remporte de nombreux concours et est admis à l’Ecole de Chant de l’Opéra de Paris où il se perfectionne.
Il est très rapidement engagé sur les plus grandes scènes françaises (Bordeaux, Opéra Bastille, Opéra Comique, Marseille, St Etienne, Metz, Chorégies d’Orange, Strasbourg, Nice, Toulon, Avignon, Toulouse, Massy, Nancy, Tours), et internationales (Genève, Madrid, Barcelone, Venise, Tel Aviv, Monte-Carlo, Séville, Moscou, Trieste, Athènes, Liège, Oman).
Son large répertoire comprend aussi bien les rôles français tels que Ourrias (Mireille), Valentin (Faust), L'Enfant et les Sortilèges (Le Chat et L’Horloge), Lescaut (Manon), Karnac (Le Roi d’Ys), Zurga (Les Pêcheurs de Perles), Directeur de Théâtre / Le Gendarme (Les Mamelles de Tirésias), et le Geôlier (Dialogues des Carmélites), Capulet (Roméo et Juliette) que des rôles du répertoire italien tels que le rôle-titre de Rigoletto, Figaro du Barbier de Séville ou Enrico (Lucia di Lammermoor), Germont (La Traviata), Barnaba (La Gioconda), Il Conte di Luna (Il Trovatore), Alfio (Cavalleria Rusticana), Fra Melitone (La Forza del Destino), Falstaff et Ford (Falstaff), Lescaut (Manon Lescaut).
On a pu l’entendre aussi dans l’Opéra Contemporain (Salammbô à l’Opéra Bastille et Il Divorzio all’italiana à l’Opéra de Nancy) mais aussi dans l’Opérette, répertoire qu’il affectionne tout particulièrement (La Grande Duchesse de Gerolstein, La Vie Parisienne, La Belle Hélène, La Périchole, La Chauve-Souris, Les Mousquetaires au Couvent, La Veuve Joyeuse,…)
Il a chanté sous la direction de nombreux chefs d’orchestre tels que Michel Plasson, MyungWhun Chung, Seji Osawa, Alain Guingal, Jacques Lacombe, Antoni Ros-Marba, Laurent Campellone et collaboré avec des metteurs en scène tels que Jérôme Savary, Jean-Louis Grinda, Jean-Louis Pichon, Francesca Zambello, Laurent Pelly, Charles Roubaud, Paul-Emile Fourny...
Sa discographie comprend L’Homme de la Mancha (chez Forlan aux côtés de José Van Dam) et plus récemment Tistou et les pouces verts d’Henri Sauguet commandé par Radio France et enregistré à la Salle Pleyel.
Parmi ses projets, notons entre autres, La Chauve-Souris à Marseille, Carmen à Monte-Carlo et Toulouse, La Veuve Joyeuse et la Vie Parisienne à Marseille, Rusalka à Tours et de Nombreux concerts dans toutes la France…
Michel Capolongo (piano)
Titulaire d'un premier prix de piano au Conservatoire de Nice , Michel Capolongo s'oriente très tôt vers l'accompagnement, la musique de chambre , et l'enseignement. D'abord répétiteur à l'Opéra de Nice , il est nommé professeur de piano au Conservatoire de Cannes, et accompagnateur au C.N.R de Nice ainsi qu'à l'Académie Prince Rainier III, chef de chant à l'Opéra de Monaco pendant dix ans. Il accompagne les masterclasses de Régine Crespin, Jane Rhodes, Michel Piquemal, Loren Nubar, Renaud Capuçon, Claude Delangle. Il participe à de nombreux concerts et festivals en France et à l'étranger notamment avec Monserrat Caballe, Nathalie Dessay ainsi qu'aux Victoires de la musique classique 2007 en tant qu'accompagnateur du baryton français : Jean -Luc Ballestra, invité des théâtres d'Opéra de Lyon, Toulouse, Nice , Limoges, il se produit dans différentes formations dont le trio Varna ,duo de piano avec Jean-Michel Damase.
"Un mot pour l'accompagnement superlatif de Michel Capolongo ,musicien sensationnel...".
Opéra Magazine janvier 2014 à l'occasion d'un récital avec le ténor Stanislas de Barbeyrac (Victoires de la musique classique 2014)
Titulaire d'un premier prix de piano au Conservatoire de Nice , Michel Capolongo s'oriente très tôt vers l'accompagnement, la musique de chambre , et l'enseignement. D'abord répétiteur à l'Opéra de Nice , il est nommé professeur de piano au Conservatoire de Cannes, et accompagnateur au C.N.R de Nice ainsi qu'à l'Académie Prince Rainier III, chef de chant à l'Opéra de Monaco pendant dix ans. Il accompagne les masterclasses de Régine Crespin, Jane Rhodes, Michel Piquemal, Loren Nubar, Renaud Capuçon, Claude Delangle. Il participe à de nombreux concerts et festivals en France et à l'étranger notamment avec Monserrat Caballe, Nathalie Dessay ainsi qu'aux Victoires de la musique classique 2007 en tant qu'accompagnateur du baryton français : Jean -Luc Ballestra, invité des théâtres d'Opéra de Lyon, Toulouse, Nice , Limoges, il se produit dans différentes formations dont le trio Varna ,duo de piano avec Jean-Michel Damase.
"Un mot pour l'accompagnement superlatif de Michel Capolongo ,musicien sensationnel...".
Opéra Magazine janvier 2014 à l'occasion d'un récital avec le ténor Stanislas de Barbeyrac (Victoires de la musique classique 2014)