VENDREDI 12 AVRIL À 20H30
Espace Culturel de la Vigie Solenne Païdassi, violon
Frédéric Vaysse-Knitter, piano |
Programme :
Mozart
Sonate en si bémol majeur K378
Allegro moderato
Andante sostenuto e cantabile
Rondeau: Allegro
L'une des merveilleuses sonates du génie autrichien, composée en 1779 à Salzbourg.
Ravel
Tzigane (en un mouvement)
« Morceau de virtuosité dans le goût d'une rhapsodie hongroise » (Ravel, 1938)
Extrêmement ardue, l'œuvre fait partie des pièces du répertoire violonistique qui demandent le plus de virtuosité.
-
Enescu
Impromptu concertant (en un mouvement)
Oeuvre chaleureuse et mouvementée du célèbre compositeur
Stravinsky
Divertimento (arrangement du Divertimento du sublime ballet "Le baiser de la fée")
Sinfonia
Danses Suisses
Scherzo
Pas de deux
Mozart
Sonate en si bémol majeur K378
Allegro moderato
Andante sostenuto e cantabile
Rondeau: Allegro
L'une des merveilleuses sonates du génie autrichien, composée en 1779 à Salzbourg.
Ravel
Tzigane (en un mouvement)
« Morceau de virtuosité dans le goût d'une rhapsodie hongroise » (Ravel, 1938)
Extrêmement ardue, l'œuvre fait partie des pièces du répertoire violonistique qui demandent le plus de virtuosité.
-
Enescu
Impromptu concertant (en un mouvement)
Oeuvre chaleureuse et mouvementée du célèbre compositeur
Stravinsky
Divertimento (arrangement du Divertimento du sublime ballet "Le baiser de la fée")
Sinfonia
Danses Suisses
Scherzo
Pas de deux
Solenne Païdassi, violoniste
« Le triomphe de la lumière. La souplesse et la générosité de la soliste s’y expriment sans maniérisme dès l’entame. On s’y délecte d’une corde de mi affûtée et chaleureuse à la fois. Le violon plane ensuite au-dessus d’une élégante barcarolle et offre un éloquent
discours dans le maestoso moderato, avec un souci de clarté jusque dans les arpèges fusants. » Dernières Nouvelles d’Alsace – Juin 2012 La violoniste française Solenne Païdassi a remporté le Concours Long-Thibaud 2010. Elle est Révélation Classique de l’Adami 2012. Elle a été récompensée par de nombreux prix, en France et à l’étranger, entre autres au Concours International de Hanovre 2009, au concours Sion-Valais, et le concours Gyeongnam en Corée du Sud. Elle a été diffusée par les stations de radio France Musique, Deutschlandradio Kultur et NDR Kultur. En 2012 elle a joué un concert retransmis à la radio SüdWestRundfunk, avec le Radio-Sinfonieorchester de Stuttgart. Elle a été l’invitée de nombreuses émissions sur France Musique, dont les émissions de Gaëlle Le Gallic et Frédéric Lodéon. Elle joue un violon de Giovanni Battista Guadagnini de 1784 prêté par la fondation Zilber Vatelot Rampal. Solenne Païdassi a déjà donné concerts et récitals partout dans le monde. Sa carrière l’a déjà amenée à jouer dans les salles les plus prestigieuses. Elle a joué au Tonhalle de Zürich, au Carnegie Hall de New York, au Concertgebouw d’Amsterdam, salle Gaveau à Paris et a participé à de nombreux festivals web, tels que le Festival International de Colmar, le Festival Radio-France de Montpellier, “la Folle Journée”, le Festival International de Musique de Tongyeong, le Festival International de Sion Valais. Elle a collaboré comme soliste avec des orchestres tels que l’Orchestre Philharmonique de Radio-France, l’Orchestre Sinfonia Varsovia, l’Orchestre Philharmonique de Montpellier, l’Orchestre Nationale… sous la direction de chefs renommés, entre autres Lawrence Foster, Shlomo Mintz, Vladimir Spivakov, Darell Ang. Après avoir terminé ses études aux Conservatoires de Nice et Genève, puis à la Royal Academy de Londres et au Curtis Institute of Music de Philadelphie, elle a obtenu un diplôme de Künstlerische Ausbildung de la Hochschule für Musik und Theater de Hanovre. Son premier CD, aux côtés du pianiste Laurent Wagschal consacré aux sonates de Franck, Pierné, Saint-Saëns, est paru en 2013 chez le label Indésens. Son enregistrement autour de Stravinsky et Szymanowski avec le pianiste Frédéric Vaysse-Knitter sorti à l’automne 2014 chez Aparté reçoit un accueil très élogieux de la presse, notamment un CHOC Classica.
« Le triomphe de la lumière. La souplesse et la générosité de la soliste s’y expriment sans maniérisme dès l’entame. On s’y délecte d’une corde de mi affûtée et chaleureuse à la fois. Le violon plane ensuite au-dessus d’une élégante barcarolle et offre un éloquent
discours dans le maestoso moderato, avec un souci de clarté jusque dans les arpèges fusants. » Dernières Nouvelles d’Alsace – Juin 2012 La violoniste française Solenne Païdassi a remporté le Concours Long-Thibaud 2010. Elle est Révélation Classique de l’Adami 2012. Elle a été récompensée par de nombreux prix, en France et à l’étranger, entre autres au Concours International de Hanovre 2009, au concours Sion-Valais, et le concours Gyeongnam en Corée du Sud. Elle a été diffusée par les stations de radio France Musique, Deutschlandradio Kultur et NDR Kultur. En 2012 elle a joué un concert retransmis à la radio SüdWestRundfunk, avec le Radio-Sinfonieorchester de Stuttgart. Elle a été l’invitée de nombreuses émissions sur France Musique, dont les émissions de Gaëlle Le Gallic et Frédéric Lodéon. Elle joue un violon de Giovanni Battista Guadagnini de 1784 prêté par la fondation Zilber Vatelot Rampal. Solenne Païdassi a déjà donné concerts et récitals partout dans le monde. Sa carrière l’a déjà amenée à jouer dans les salles les plus prestigieuses. Elle a joué au Tonhalle de Zürich, au Carnegie Hall de New York, au Concertgebouw d’Amsterdam, salle Gaveau à Paris et a participé à de nombreux festivals web, tels que le Festival International de Colmar, le Festival Radio-France de Montpellier, “la Folle Journée”, le Festival International de Musique de Tongyeong, le Festival International de Sion Valais. Elle a collaboré comme soliste avec des orchestres tels que l’Orchestre Philharmonique de Radio-France, l’Orchestre Sinfonia Varsovia, l’Orchestre Philharmonique de Montpellier, l’Orchestre Nationale… sous la direction de chefs renommés, entre autres Lawrence Foster, Shlomo Mintz, Vladimir Spivakov, Darell Ang. Après avoir terminé ses études aux Conservatoires de Nice et Genève, puis à la Royal Academy de Londres et au Curtis Institute of Music de Philadelphie, elle a obtenu un diplôme de Künstlerische Ausbildung de la Hochschule für Musik und Theater de Hanovre. Son premier CD, aux côtés du pianiste Laurent Wagschal consacré aux sonates de Franck, Pierné, Saint-Saëns, est paru en 2013 chez le label Indésens. Son enregistrement autour de Stravinsky et Szymanowski avec le pianiste Frédéric Vaysse-Knitter sorti à l’automne 2014 chez Aparté reçoit un accueil très élogieux de la presse, notamment un CHOC Classica.
Frédéric Vaysse-Knitter, pianiste
« [F. Vaysse-Knitter] a clairement établi la filiation Chopin-Debussy-Liszt. D’abord avec le premier livre d’Images de Debussy qui a sonné ample et clair pour atteindre une beauté plastique stupéfiante. (…) Son interprétation [de Funérailles] s’est imposée par sa puissance, sa gravité, sa richesse harmonique, Vaysse-Knitter tirant de cette œuvre solennelle la diversité sonore d’un grand orchestre symphonique. Enfin, Poisson d’or (…), fluide avec un toucher aérien d’une étourdissante virtuosité. » Bruno Serrou
« Chaque descente du regard en soi-même est en même temps une ascension, une assomption, un regard vers l’extérieur véritable. » Novalis – traduit ici par Maurice Maeterlinck – offre les mots justes pour exprimer la quintessence du jeu de Frédéric Vaysse-Knitter : saisissant par son extrême densité et son caractère d’urgence vitale, son piano est à parts égales le chantre de l’introspection et celui de la transcendance.
Ceci explique en partie la fascination qu’exerce sur lui la musique de Karol Szymanowski : Frédéric Vaysse-Knitter se consacre depuis plusieurs années à son œuvre pour piano et au répertoire de ses contemporains, tout en portant un attachement particulier à la musique d’aujourd’hui. Son enregistrement Szymanowski en solo a été récompensé par 4 étoiles Fonoforum, 5 étoiles Piano News, un Maestro de la revue Pianiste, tandis que l’album Szymanowski-Stravinsky (Aparté) qui l’a suivi, enregistré avec la violoniste Solenne Païdassi, a obtenu un Choc Classica, 5 Diapasons, 10/10 Klassik Heute… La discographie de Frédéric Vaysse-Knitter comprend des enregistrements de Chopin/Liszt, Debussy (flûte/piano), Haydn, Satie, Brahms/Dvorak (trios), Stravinsky, Szymanowski; elle lui a notamment valu un Prix Jeunesse Adami et un Grand Prix de l’Académie Charles Cros.
Frédéric Vaysse-Knitter est l’invité de salles prestigieuses telles que la Philharmonie de Paris, le Théâtre des Champs-Elysées, la Cité de la Musique, la Herkulessaal de Munich, le Concertgebouw d’Amsterdam, le Bunka Kaikan Hall de Tokyo les auditoriums de Grenade, de Monterrey au Mexique, ainsi que de nombreux festivals : Menton, Radio France à Montpellier, Lille Piano(s) Festival, Lazienki/Varsovie, Weimar, Osaka, French Festival d’Adelaide… Il joue sous la direction de Sir John Eliot Gardiner, Arie Van Beek, Diego Matheuz, Jean-François Verdier, Benjamin Lévy, avec des orchestres tels que le Simon Bolivar Youth Orchestra, l’Orchestre national d’Auvergne, l’Orchestre de l’Opéra de Paris, l’Orchestre de Salta…
Se produisant régulièrement avec Alexandre Tharaud, Momo Kodama, Solenne Païdassi, Tedi Papavrami, Gionata Sgambaro, Xavier Phillips, les quatuor Diotima, Psophos, ou le pianiste de jazz Guillaume de Chassy, Frédéric Vaysse-Knitter s’engage également dans des projets associant la musique à la littérature, collaborant entre autres avec Catherine Jacob, François Morel, Nicolas Vaude. Il se produit fréquemment avec des chorégraphes et danseurs, notamment à l’Opéra de Paris dans la « Dame aux camélias » de John Neumeier, « Play » d’Alexander Ekmanet crée le récital-dansé « Aimer » avec le chorégraphe Nicolas Paul.
Il s’est formé dans la grande tradition des écoles de piano françaises, polonaises et allemandes. Entré à treize ans au Conservatoire National Supérieur de Musique de Paris, il y obtient un Premier Prix de Piano, de Musique de Chambre et y effectue un cycle de perfectionnement.
Il fait ensuite une rencontre déterminante en la personne de Krystian Zimerman, qui le conseille et le guide dans ses choix. Il intègre alors la Musikhochschule de Freiburg, où il obtient le diplôme de Soliste. Enfin, il se perfectionne auprès d’autorités musicales telles que György Sebők, AlexisWeissenberg, Alicia de Larrocha et Leon Fleisher, à la prestigieuse Fondation Internationale du Lac de Côme. Ils le marquent durablement : le premier par son approche philosophique et spirituelle de la musique, le deuxième par la puissance tellurique de son interprétation, la troisième par son souci de la ligne vocale, tandis que le dernier se révèle un maître à penser.
Nommé Révélation Classique de l’Adami, puis Lauréat Juventus, Frédéric Vaysse-Knitter est remarqué par Maria João Pirès, qui l’invite au Lille Piano(s) Festival.
Dès lors, il fréquente assidument les plateaux et studios de France Télévision, la BBC, TV Polonia, Radio Classique, France Musique, la Bayerischer Rundfunk…
Frédéric Vaysse-Knitter a été le fondateur et directeur artistique du festival A Tempo (Lavaur, Tarn) et a co-dirigé avec Alexandre Tharaud le Festival Amadeus en Suisse.
« [F. Vaysse-Knitter] a clairement établi la filiation Chopin-Debussy-Liszt. D’abord avec le premier livre d’Images de Debussy qui a sonné ample et clair pour atteindre une beauté plastique stupéfiante. (…) Son interprétation [de Funérailles] s’est imposée par sa puissance, sa gravité, sa richesse harmonique, Vaysse-Knitter tirant de cette œuvre solennelle la diversité sonore d’un grand orchestre symphonique. Enfin, Poisson d’or (…), fluide avec un toucher aérien d’une étourdissante virtuosité. » Bruno Serrou
« Chaque descente du regard en soi-même est en même temps une ascension, une assomption, un regard vers l’extérieur véritable. » Novalis – traduit ici par Maurice Maeterlinck – offre les mots justes pour exprimer la quintessence du jeu de Frédéric Vaysse-Knitter : saisissant par son extrême densité et son caractère d’urgence vitale, son piano est à parts égales le chantre de l’introspection et celui de la transcendance.
Ceci explique en partie la fascination qu’exerce sur lui la musique de Karol Szymanowski : Frédéric Vaysse-Knitter se consacre depuis plusieurs années à son œuvre pour piano et au répertoire de ses contemporains, tout en portant un attachement particulier à la musique d’aujourd’hui. Son enregistrement Szymanowski en solo a été récompensé par 4 étoiles Fonoforum, 5 étoiles Piano News, un Maestro de la revue Pianiste, tandis que l’album Szymanowski-Stravinsky (Aparté) qui l’a suivi, enregistré avec la violoniste Solenne Païdassi, a obtenu un Choc Classica, 5 Diapasons, 10/10 Klassik Heute… La discographie de Frédéric Vaysse-Knitter comprend des enregistrements de Chopin/Liszt, Debussy (flûte/piano), Haydn, Satie, Brahms/Dvorak (trios), Stravinsky, Szymanowski; elle lui a notamment valu un Prix Jeunesse Adami et un Grand Prix de l’Académie Charles Cros.
Frédéric Vaysse-Knitter est l’invité de salles prestigieuses telles que la Philharmonie de Paris, le Théâtre des Champs-Elysées, la Cité de la Musique, la Herkulessaal de Munich, le Concertgebouw d’Amsterdam, le Bunka Kaikan Hall de Tokyo les auditoriums de Grenade, de Monterrey au Mexique, ainsi que de nombreux festivals : Menton, Radio France à Montpellier, Lille Piano(s) Festival, Lazienki/Varsovie, Weimar, Osaka, French Festival d’Adelaide… Il joue sous la direction de Sir John Eliot Gardiner, Arie Van Beek, Diego Matheuz, Jean-François Verdier, Benjamin Lévy, avec des orchestres tels que le Simon Bolivar Youth Orchestra, l’Orchestre national d’Auvergne, l’Orchestre de l’Opéra de Paris, l’Orchestre de Salta…
Se produisant régulièrement avec Alexandre Tharaud, Momo Kodama, Solenne Païdassi, Tedi Papavrami, Gionata Sgambaro, Xavier Phillips, les quatuor Diotima, Psophos, ou le pianiste de jazz Guillaume de Chassy, Frédéric Vaysse-Knitter s’engage également dans des projets associant la musique à la littérature, collaborant entre autres avec Catherine Jacob, François Morel, Nicolas Vaude. Il se produit fréquemment avec des chorégraphes et danseurs, notamment à l’Opéra de Paris dans la « Dame aux camélias » de John Neumeier, « Play » d’Alexander Ekmanet crée le récital-dansé « Aimer » avec le chorégraphe Nicolas Paul.
Il s’est formé dans la grande tradition des écoles de piano françaises, polonaises et allemandes. Entré à treize ans au Conservatoire National Supérieur de Musique de Paris, il y obtient un Premier Prix de Piano, de Musique de Chambre et y effectue un cycle de perfectionnement.
Il fait ensuite une rencontre déterminante en la personne de Krystian Zimerman, qui le conseille et le guide dans ses choix. Il intègre alors la Musikhochschule de Freiburg, où il obtient le diplôme de Soliste. Enfin, il se perfectionne auprès d’autorités musicales telles que György Sebők, AlexisWeissenberg, Alicia de Larrocha et Leon Fleisher, à la prestigieuse Fondation Internationale du Lac de Côme. Ils le marquent durablement : le premier par son approche philosophique et spirituelle de la musique, le deuxième par la puissance tellurique de son interprétation, la troisième par son souci de la ligne vocale, tandis que le dernier se révèle un maître à penser.
Nommé Révélation Classique de l’Adami, puis Lauréat Juventus, Frédéric Vaysse-Knitter est remarqué par Maria João Pirès, qui l’invite au Lille Piano(s) Festival.
Dès lors, il fréquente assidument les plateaux et studios de France Télévision, la BBC, TV Polonia, Radio Classique, France Musique, la Bayerischer Rundfunk…
Frédéric Vaysse-Knitter a été le fondateur et directeur artistique du festival A Tempo (Lavaur, Tarn) et a co-dirigé avec Alexandre Tharaud le Festival Amadeus en Suisse.